QingCheng

 

Juillet 2001

 

 

                                  

 

 

36 sommets, 72 grottes, 108 lieux « d’intérêt » composent, avec la précision chinoise des chiffres , le site du mont QingCheng, lieu de naissance du Taoïsme.

On ne peut qu’imaginer les temples perdus dans la forêt, les grottes ornées de dizaines de statues, les chemins escarpés, les cascades étincelantes … « le plus beau endroit du monde » indique une pancarte à l’entrée, dans le style usuel de l’empire du soleil levant, un monde à lui seul.

 

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Les « portes » du parc sont ornées comme les temples maya! La couleur rehausse la facture de ces petits personnages, dont les mines ravies rappellent les dessins animés.

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Animaux mythiques et familiers se partagent la scène. Le temple « Jianfugong » a été construit en 730, bien que le nom actuel soit moderne (donné lors de la dynastie des Song en 1175.

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Peu de voitures encore, mais le tourisme est une nouvelle manie en Chine, et tout est fait pour accueillir le visiteur; même si certains se perchent sur les toits pour examiner ces drôles de personnes.

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On a l’impression que les arbres vont étouffer les fragiles pavillons aux pointes élancées et aux lanternes de papier. La foule se presse sous les arbres gigantesques. Le chemin est sombre quelle que soit l’heure de la journée, tant la canopée est dense. La montée est rude vers les sommets. Des abris sont disséminés tout au long du chemin pour quelque repos à l’abri de la pluie. Pour ceux qui fatiguent, des porteurs se relaient pour conduire à dos d’homme vers les temples, comme un pèlerinage…

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Les arbres immenses font comme un écrin aux dizaines de temples disséminés dans la jungle. Le lac « Yuecheng », que l’on doit traverser pour emprunter le téléphérique..

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Les animaux décorant les toits semblent surpris dans leur vie de tous les jours par quelques « objectif » millénaire. Téléphérique qui semble pénétrer comme à regret dans la forêt.. Les arbres immenses font comme un écrin aux dizaines de temples disséminés dans la jungle. L’humidité constante du Sichuan, les innombrables sources d’eau fraîche, la chaleur tout au long de l’année, ont donné naissance à une forêt tropicale.

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Perdus dans la forêt, des pierres sculptées et peintes accueillent depuis des centaines d’années les pèlerins. Arrivée au temple Shangqinggong, dont l’origine remonte au 4° siècle.

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Un marchand d’ombrelles, et de parapluies. Interdiction de prendre des photos, tel est l’accueil que nous a réservé ce fidèle après avoir terminé d’allumer ses bougies. Arrivée en chaise à porteurs. Il faut avoir le cœur bien accroché!

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Les déités locales montent la garde à l’entrée du temple: menaçantes pour les démons … … accueillantes pour les cœurs purs.  

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Shopping et pèlerinage!

 

Au retour, la brume du soir recouvre l’ensemble du parc dont le nom, Qing Cheng Shan signifie la « cité verte », portant à la rêverie si ce n’est à la méditation.

 

 

Continuer la visite du Sichuan:

Chengdu: Les pandas

Dazu, sculptures Song

Le grand Bouddha de Leshan

Le mont Emei

La campagne

Dujiangyang, un barrage du 3° siècle avant J.C.

QingCheng

Montagne sacrée du Taoïsme

Chengdu: La chaumière de Du Fu

Quelques vues de Chengdu

 

 

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